La Cour du moulin
La Cour - Domaine du moulin de Richebourg
Résidence de charme avec terrasse et accès direct au parc
Véritable havre de paix, la Cour du Moulin est une maison de plain-pied, baignée de lumière, où chaque détail a été pensé pour le confort des hôtes. Son salon spacieux, agrémenté d’une cheminée d’origine, élément décoratif détourné de façon originale. Les murs aux teintes douces et les matériaux naturels renforcent l’ambiance feutrée de la maison. Les chambres offrent un cocon de sérénité avec des fenêtres donnant sur la terrasse privative et l’accès direct au parc du Domaine.
Au sein de cette bâtisse, ancienne maison du meunier, l’espace est organisé de manière à favoriser la tranquillité et l’harmonie, avec des rangements discrets en bois. Le tout crée une atmosphère où l’on se sent instantanément apaisé, comme immergé dans un havre de paix, où la nature et la simplicité se rencontrent.
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Livraison de repasMassage
Petit-déjeuner en supplément
Souper à l’arrivéeYogaHistoire du lieu
Au sein de l’Ile-de-France, les moulins sont nombreux, notamment dans la région des Yvelines (78). Le moulin de Richebourg fait partie d’un ensemble architectural datant de la période médiévale. Les édifices connaissent au fil des siècles des agrandissements, des restaurations jusqu’au XIXe siècle. Le moulin de Richebourg est mentionné dans le cartulaire de Port Royal (XIIIe siècle). L’ensemble est offert en 1206 à l’Abbaye de Port Royal par l’évêque de Paris. Les moulins produisent de la farine et permettent la production de tuiles.
On raconte que les moines de Bazainville ont fait modifier le cours d’eau Salceron qui traverse Richebourg afin de faire tourner les moulins plus efficacement. Ce genre de modification du territoire n’était pas réglementé et chacun détournait à sa guise les bras d’eau. À Richebourg, il est facile de remarquer l’impact de la main humaine dans la déviation du tracé de l’eau, avec plusieurs angles droits et coudés.
En 1745, le Comte de Cossé-Brissac, lieutenant général des Armées du Roi Louis XV, haut justicier de Saulx-Richebourg, devient propriétaire du château, de la ferme et du moulin de Richebourg. Il fera augmenter le débit du Sausseron et créer le lavoir des Honnins.
En 1750, il apparaît dans l’acte notarié que le moulin possède 2 roues et 4 meules, ce qui montre l’importance du Sausseron au XVIIIe siècle.
Son débit diminue avec l’essor de la Révolution Industrielle et par la construction de l’aqueduc de l’Avre en Mars 1893, aqueduc qui alimente Paris en eau potable. L’ingénieur en chef de ce projet n’est autre que Fulgence Bienvenüe, l’un des concepteurs et réalisateurs du métro parisien. Le moulin a donc rapidement cessé de fonctionner du fait de la faible force de l’eau et des nouvelles techniques industrielles pour moudre et produire des matières premières.
Aujourd’hui, le moulin de Richebourg retrouve un second souffle, la vie revient au cœur de cette bâtisse du patrimoine rural.
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